Journal (1987-2012)
Avec ce journal posthume tenu de façon intermittente pendant près de 25 ans, l'écrivain ouvre au lecteur les portes de son atelier.
Préface de Jean Védrines.
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Radio :
Les jeudis littéraires de Radio Aligre (émission du 25 juin 2015)
Presse :
Presse-Océan (mai 2015) ; La Croix (8/07/2015) ; Le Matricule des Anges (juillet-août 2015)
Web :
Le tiers livre (avril 2015) ; Brumes (5 mai 2015) ; Un nécessaire malentendu (23 mai 2015) ; Ardemment.com (mise en ligne de la préface de Jean Védrines) ; Causeur (18 juillet 2015) ; La cause littéraire (24 septembre 2015)
Le JOURNAL bientôt en librairie
Le 27 avril 2015 paraîtra aux éditions Fayard le Journal qu’a tenu Michel Chaillou pendant près de 25 ans (1987-2012). On y verra naître quelques-uns de ses plus grands livres : La Croyance des voleurs, Le ciel touche à peine terre, Virginité, 1945 … jusqu’à son dernier roman, L’Hypothèse de l’ombre. Préface de son ami le romancier Jean Védrines, l’interlocuteur de L’Ecoute intérieure.
Colloque Michel Chaillou à l’Université d’Angers
Appel à communications
Initié par l’Université d’Angers, soutenu par la BnF à qui Michel a fait don de ses manuscrits (voir rubrique sur la page d’accueil) et l’Académie de Bretagne dont il était membre d’honneur, ce colloque organisé par Pauline Bruley, Michel Chaillou, une écriture en parcours, se tiendra en mai 2015.
Encres de Loire
Le numéro 67 Printemps-Eté 2014 d’Encres de Loire, la revue du livre en Pays de Loire, vient de publier un hommage à Michel Chaillou sous la plume de Jean-Yves Paumier, chancelier de l’Académie littéraire de Bretagne et des Pays de la Loire.
Extraits du Journal dans la revue Po&sie
La très belle revue créée et dirigée par Michel Deguy aux éditions Belin publie dans son dernier numéro (147, 1er trimestre 2014) de nombreuses pages du Journal inédit de Michel dont Fayard assurera la publication dans le courant de l’année 2015. Elles sont introduites par Jean-Loup Trassard, autre ami de toujours.
Michel Chaillou au CNL
Mardi 3 juin de 19h à 22h, la Maison des écrivains vous invite à une soirée d’hommage à Michel Chaillou au Centre national du livre.
Elle ouvrira avec le film réalisé en 2001 par Pierre Samson : Michel Chaillou, le métier de la langue. Suivront les témoignages de ses amis,
Qui parle là-bas ?
Ce texte de Michel Chaillou a été lu en clôture de la cérémonie d’hommage qui s’est déroulée le 16 décembre 2013 au cimetière du Père-Lachaise. Il ouvrait un recueil de nouvelles tout juste commencé.
QUI PARLE LÀ-BAS ?
Un bruit lointain, une rumeur, un tapage de l’âme, à peine des mots, l’ombre de plusieurs voix qui s’invectivent. Qui parle là-bas? Mais là-bas où est-ce ? J’écoute. J’écris que j’écoute. Comment faire entendre à mon papier ces pourparlers des confins ? Qu’au bout de mes doigts, la page en résonne magistralement entre ses marges. Si je hausse
Aux Amis réunis
Merci à tous ceux qui sont venus accompagner ce jour-là leur ami Michel au Père-Lachaise. Merci à ceux qui ont prononcé des mots affectueux lors de la cérémonie de crémation.
Un nouveau roman
Il paraîtra en novembre prochain, dans la collection « Haute enfance » des éditions Gallimard, là où a été déjà publié Le crime du beau temps. Une collection que j’aime car elle permet d’allier profondeur et légèreté.
Nantes à Matignon
Presque un mois déjà ! Le samedi 23 mars à 11 heures, Jean-Marc Ayrault m’a gentiment ouvert les portes de l’Hôtel de Matignon à l’occasion de la remise des manuscrits de deux de mes livres — La Croyance des voleurs et La Fuite en Egypte — à la ville de Nantes, ma ville natale. Etaient présents, outre
Réception privée à Matignon
Jean-Marc Ayrault m’a fait l’honneur de me recevoir à l’hôtel Matignon pour me remercier d’avoir fait don à la Ville de Nantes des manuscrits de La croyance des voleurs et de La fuite en Egypte.
Bientôt plus de détails et d’autres images dans mon Blog-notes
Convalescence
Au sortir d’une maladie qui m’occupa l’esprit durant plusieurs mois, je retrouve la santé avec Théophile Gautier et son livre repêché dans ma bibliothèque inépuisable : Écrivains et artistes romantiques publié chez Plon en 1929, avec une préface de Camille Mauclair. Balzac y côtoie magnifiquement Nerval, Baudelaire, Ingres, Berlioz, Wagner, Eugène Delacroix, etc. L’auteur de La comédie humaine avait des mains fort belles dont il se montrait très
L’Hypothèse de l’ombre
L'ultime roman de Michel Chaillou dans ce qu'il appelait sa série blanche : "un type de fiction qui se moque des faits, surtout divers, et qui privilégie l'atmosphère, le monde intérieur que délivre le récit".
Livres Hebdo (Jean-Claude Perrier)
Un homme disparaît
Le nouveau Michel Chaillou est un livre bizarre. Vous avez dit bizarre ?
Ecrivain unique et divers, Michel Chaillou a habitué depuis longtemps ses lecteurs à sa façon d’appréhender le monde. D’où dans son oeuvre un certain nombre d’ovnis comme celui-ci […]A 83 ans, le Nantais Michel Chaillou affiche la même inventivité, la même maîtrise de son univers parallèle, le tout dans une langue à la fois fluide et dense, avec un zeste d’humour à froid, presque british. (« avant-critique », 8 novembre 2013 )
Transfuge (Vincent Roy)
Depuis quarante ans et vingt-huit livres, Michel Chaillou se cherche dans son oeuvre. Cet Heathcliff de la littérature contemporaine – comme le surnommait Bertrand Poirot-Delpech – écrit pour « héroïser » sa vie : voilà le tour de passe-passe de ce magicien nomade qui vise « la trajectoire intérieure des mots » […]Chaillou signe un roman envoûtant dont les mots appartiennent au « double nocturne » du héros. C’est qu’il est écrit superbement à l’ombre des mystères ! ( novembre 2013)
Encres de Loire (Huguette Hérin-Travers)
L’hypothèse de l’ombre de Michel Chaillou, comme une fascinante psalmodie de frissons, de fantasmes venus des tréfonds de l’enfance encore lovée en chacune de ses demeures. ( hiver 2013)
Encres vagabondes (Serge Cabrol)
Ce roman est un étrange puzzle dont les pièces viennent peu à peu combler les vides […]Il faut savoir donner du temps au temps, savourer toutes les circonvolutions de cette délicate écriture qui nous promène sur les traces d’une personnage aussi perdu que le lecteur, un antihéros qui n’est sûr de rien… (1er décembre 2013)
Le roman de Michel Chaillou ayant paru en novembre 2013, un mois avant son décès, les articles nécrologiques ont succédé à ces premières critiques de l’ouvrage.
Les hommages de la presse à Michel Chaillou
BibliObs (David Caglioli)
Il pleut sur Nantes : Michel Chaillou est mort
La Croix (Sabine Audrerie)
Michel Chaillou, le renouveau par le passé (La Croix, 13 décembre)
Le Monde (Raphëlle Leyris)
Auteur d’une œuvre conséquente, constituée de 27 livres qui lui a valu, en 2007, le Grand Prix de littérature de l’Académie Française, Michel Chaillou aura publié jusqu’à son dernier souffle […] Quelle que soit la veine – autobiographique, imaginaire voire fantastique – dans laquelle s’inscrivent ses livres empreints de rêverie, Michel Chaillou les écrit comme on chuchote un secret (Le Monde, 18 décembre 2013)
Le Figaro (Thierry Clermont)
Michel Chaillou, écrivain du naguère et de l’ailleurs
Restent ses livres, terriblement et désuètement présents. Désuet, qu’il considérait comme le plus beau mot de notre langue. (Le Figaro, 14-15 décembre 2013).
L’Humanité (Jean-Claude Lebrun)
On n’imaginait pas que cette voix vibrante puisse un jour ne plus s’élever. Ni que cette écriture tour à tour torrentielle et buissonnière soudain s’arrête. Michel Chaillou, c’était une parole, un style, une présence. (L’Humanité, 19 décembre 2013).
Le Magazine littéraire (Serge Sanchez)
Dans la nuit de la langue
Patient décrypteur de l’invisible, Michel Chaillou nous invite à devenir, comme il le fut, un de ces voyageurs du dehors soudainement ébranlé par l’énigme de l’être. Autrement dit un homme, mais un homme qui voit. (Le Magazine littéraire, 16 décembre 2013)